À peine ces mots sortit de ma bouche je me rendis compte de ma bêtise : en temps normal je n’aurai certainement pas l’ombre d’une chance contre une puissance maléfique alors blessé comme je l’étais… j’avais eu du mal à vaincre deux molosses et n’y était parvenu qu’au pris de cruelles blessures tandis qu’eux, sortaient de leurs combat contre des créatures à cheval, plus imposantes qu’eux qui plus est, avec à peine quelques légères plaies. Sam sembla deviner ma pensée me dit : t’inquiète pas, ont va te déposer dans un coin où tu seras en sécurité et ont va aller s’occuper La Délivrance. J’articulai difficilement :
-La…Délivrance ? Il soupire avant de répondre :
- Même gravement blessé tu continues à poser des questions, cela dit je ne sais pas si ça m’étonne vraiment. Tu vois la rouille présente partout ? Ne réponds pas, c’est une question qui n’attend pas de réponses. Cette rouille, c’est La Délivrance qui en est à l’origine, je n’ai pas eu le temps de t’expliquer où nous sommes : nous sommes à Uavys anciennement, cette portion du Grand Univers était dédié à forger du Mithril, l’air était tout le temps chaude, la seule humidité permise était celle utilisée afin de refroidir me mithril en fusion. Cette chaleur était du au fait que Uavys était relié à la principale étoile du Grand Univers via ce que l’on pourrait aujourd’hui qualifier de tunnel spatiaux, en vérité, ont s’approchaient certainement plus de chaîne tendus qui véhiculaient la chaleur de l’étoile par conductivité thermique. Lors de la chute du grand univers les chaînes se sont tendus avant de se briser coupant ainsi l’approvisionnement en chaleur d’Uavys, la refroidissant instantanément puis, au cours des années, l’humidité s’est installée, rouillant le métal, cette rouille, était vivante, c’est ce que l’on appelle La Délivrance, au fur et à mesure que le temps passait, cette rouille à réussis à prendre une forme matérielle, à partir de ce moment, les forgeurs survivants du refroidissement de Uavys n’eurent pas la moindre chance, il anima la rouille et la modélisa en la fondant, de là, viennent les Rouilleurs, à l’époque, ont pensent qu’ils étaient une petite vingtaine mais aujourd’hui ont estiment leurs nombre à trois milles, peut être trois milles cinq cent, mais, il à également réduit en esclavage quelques forgeurs, pour qu’ils fondent de la rouille continuellement et créer des nouveaux rouilleurs, modéliser un rouilleurs est un long et minutieux travail, les forgeurs, en font une vingtaine par jour environ, nous avons fuis car en deux contre deux tout va bien, mais avec Alice nous pensions qu’ils étaient une trentaine environ. Sam me pris sur ses épaules et me porta jusqu’à une petite grotte qu’il avait dû repérer plus tôt. Il m’allongea doucement sur le sol et dit : ici ils ne devrait pas te trouver, l’obscurité brouille leurs sens, ont reviendra te chercher quand ont en aura fini avec La Délivrance. Ils sortirent en courant, me laissant là, la douleurs revint brutalement, je laissa échapper un léger râle en priant pour qu’ils reviennent vite. Alors incapable de davantage supporter la douleur je me sentis perdre conscience, de nouveau sans rien pouvoir y faire. Je ne sais toujours pas combien de temps je me suis évanouis. Tant est si bien que lorsque je me suis réveillé, je distinguai dans la semi-pénombre une silhouette, je devinai que ça devait être Alice et me forcer à rouler sur le côté pour me positionner face à elle. Je sursautai en découvrant le visage de la femme, je le reconnu tout de suite : c’était Aïda ! Elle me toisait sans rien dire, au bout d’un moment je décidai de briser le silence en demandant :
- Qu’Est-ce que tu veux, me tuer ? Vas y, de toute façon je vais sans doute crever dans quelques heures alors si comme tu dis tu culpabilise fait le vite et sans douleur. Un léger sourire se forma sur son visage et elle dit :
- Je ne suis pas là pour te tuer mais te sauver la vie. Elle passa son épaule sous mon bras en m relevant et dit « marche à mon rythme ». N’ayant pas d’autre choix, toute volonté réduite à néant, j’obéis. Elle murmura : « bon chien ». Je ne trouvai même pas la force de répondre et continuai simplement sans rien dire, serrant les dents pour ne pas crier de douleurs à chaque pas. Elle s’arrêta alors devant un arbre et de se mordit sa main libre. Elle laissa une gouttelette de sang rouge écarlate perler et lorsque celle-ci entra en contact avec ce qu’il restai de l’écorce l’arbre s’ouvrît et un trou se dessina à l’intérieur de celui-ci. Elle avança en me soutenant, je trouvai alors la force de protester :
- Je vais quand même pas sauter la dedans ? Elle répondit, toujours un léger sourire au lèvres :
- Personne te demande ton avis. Elle me poussa brutalement à l’intérieur du trou ce qui m’arracha un cris de douleur, je vis une cape flotter dans les airs à côté de moi et je devinai qu’elle m’avait suivis, je chutait pendant quelques instant et que la lumière ne reviennent et que je n’atterrisse lourdement et non sans douleur sur un sol de béton, je levai les yeux, reconnu Londres et devinai que j’étais revenus dans le monde réel. Elle me remis maladroitement ( et douloureusement ) sur mes pieds non sans m’arracher de nouveau un gémissement de douleur et me dit :
- Presse toi si tu veux survivre. Elle accéléra le pas et me fit entrer dans un bâtiment désaffecté avant de pousser la porte (puis moi) dans une salle. Elle m’attacha une corde dorée à chaque poignée et les relia à quelques chose sur une table de pierre. Je notai la présence de verre vide sur une étagère rouillé. Je compris alors ce qui était accroché à la table de pierre : un enfant ! Les intentions de Aïda ne laissaient plus place au doute lorsque je la vis sortir son kukri et s’approcher de l’enfant qui à présent, hurlait et sanglotait. J’articulai difficilement :
- Tu vas pas… Elle m’ignora et s’approcha de l’enfant, une fois à son côté, elle lui pris la main et se mit à sangloter avant de commencer, entre deux sanglots, à prononcer des mots auquel je ne comprenais rien, elle acheva par « Nema » je compris tout de suite que c’était « Amen » en verlan. Je reprends, elle conclut par « Nema » avant d’abattre sa lame sur l’enfant, faisant taire immédiatement ses cris et lamentations.
À peine ces mots sortit de ma bouche je me rendis compte de ma bêtise : en temps normal je n’aurai certainement pas l’ombre d’une chance contre une puissance maléfique alors blessé comme je l’étais… j’avais eu du mal à vaincre deux molosses et n’y était parvenu qu’au pris de cruelles blessures tandis qu’eux, sortaient de leurs combat contre des créatures à cheval, plus imposantes qu’eux qui plus est, avec à peine quelques légères plaies. Sam sembla deviner ma pensée me dit : t’inquiète pas, ont va te déposer dans un coin où tu seras en sécurité et ont va aller s’occuper La Délivrance. J’articulai difficilement :
-La…Délivrance ? Il soupire avant de répondre :
- Même gravement blessé tu continues à poser des questions, cela dit je ne sais pas si ça m’étonne vraiment. Tu vois la rouille présente partout ? Ne réponds pas, c’est une question qui n’attend pas de réponses. Cette rouille, c’est La Délivrance qui en est à l’origine, je n’ai pas eu le temps de t’expliquer où nous sommes : nous sommes à Uavys anciennement, cette portion du Grand Univers était dédié à forger du Mithril, l’air était tout le temps chaude, la seule humidité permise était celle utilisée afin de refroidir me mithril en fusion. Cette chaleur était du au fait que Uavys était relié à la principale étoile du Grand Univers via ce que l’on pourrait aujourd’hui qualifier de tunnel spatiaux, en vérité, ont s’approchaient certainement plus de chaîne tendus qui véhiculaient la chaleur de l’étoile par conductivité thermique. Lors de la chute du grand univers les chaînes se sont tendus avant de se briser coupant ainsi l’approvisionnement en chaleur d’Uavys, la refroidissant instantanément puis, au cours des années, l’humidité s’est installée, rouillant le métal, cette rouille, était vivante, c’est ce que l’on appelle La Délivrance, au fur et à mesure que le temps passait, cette rouille à réussis à prendre une forme matérielle, à partir de ce moment, les forgeurs survivants du refroidissement de Uavys n’eurent pas la moindre chance, il anima la rouille et la modélisa en la fondant, de là, viennent les Rouilleurs, à l’époque, ont pensent qu’ils étaient une petite vingtaine mais aujourd’hui ont estiment leurs nombre à trois milles, peut être trois milles cinq cent, mais, il à également réduit en esclavage quelques forgeurs, pour qu’ils fondent de la rouille continuellement et créer des nouveaux rouilleurs, modéliser un rouilleurs est un long et minutieux travail, les forgeurs, en font une vingtaine par jour environ, nous avons fuis car en deux contre deux tout va bien, mais avec Alice nous pensions qu’ils étaient une trentaine environ. Sam me pris sur ses épaules et me porta jusqu’à une petite grotte qu’il avait dû repérer plus tôt. Il m’allongea doucement sur le sol et dit : ici ils ne devrait pas te trouver, l’obscurité brouille leurs sens, ont reviendra te chercher quand ont en aura fini avec La Délivrance. Ils sortirent en courant, me laissant là, la douleurs revint brutalement, je laissa échapper un léger râle en priant pour qu’ils reviennent vite. Alors incapable de davantage supporter la douleur je me sentis perdre conscience, de nouveau sans rien pouvoir y faire. Je ne sais toujours pas combien de temps je me suis évanouis. Tant est si bien que lorsque je me suis réveillé, je distinguai dans la semi-pénombre une silhouette, je devinai que ça devait être Alice et me forcer à rouler sur le côté pour me positionner face à elle. Je sursautai en découvrant le visage de la femme, je le reconnu tout de suite : c’était Aïda ! Elle me toisait sans rien dire, au bout d’un moment je décidai de briser le silence en demandant :
- Qu’Est-ce que tu veux, me tuer ? Vas y, de toute façon je vais sans doute crever dans quelques heures alors si comme tu dis tu culpabilise fait le vite et sans douleur. Un léger sourire se forma sur son visage et elle dit :
- Je ne suis pas là pour te tuer mais te sauver la vie. Elle passa son épaule sous mon bras en m relevant et dit « marche à mon rythme ». N’ayant pas d’autre choix, toute volonté réduite à néant, j’obéis. Elle murmura : « bon chien ». Je ne trouvai même pas la force de répondre et continuai simplement sans rien dire, serrant les dents pour ne pas crier de douleurs à chaque pas. Elle s’arrêta alors devant un arbre et de se mordit sa main libre. Elle laissa une gouttelette de sang rouge écarlate perler et lorsque celle-ci entra en contact avec ce qu’il restai de l’écorce l’arbre s’ouvrît et un trou se dessina à l’intérieur de celui-ci. Elle avança en me soutenant, je trouvai alors la force de protester :
- Je vais quand même pas sauter la dedans ? Elle répondit, toujours un léger sourire au lèvres :
- Personne te demande ton avis. Elle me poussa brutalement à l’intérieur du trou ce qui m’arracha un cris de douleur, je vis une cape flotter dans les airs à côté de moi et je devinai qu’elle m’avait suivis, je chutait pendant quelques instant et que la lumière ne reviennent et que je n’atterrisse lourdement et non sans douleur sur un sol de béton, je levai les yeux, reconnu Londres et devinai que j’étais revenus dans le monde réel. Elle me remis maladroitement ( et douloureusement ) sur mes pieds non sans m’arracher de nouveau un gémissement de douleur et me dit :
- Presse toi si tu veux survivre. Elle accéléra le pas et me fit entrer dans un bâtiment désaffecté avant de pousser la porte (puis moi) dans une salle. Elle m’attacha une corde dorée à chaque poignée et les relia à quelques chose sur une table de pierre. Je notai la présence de verre vide sur une étagère rouillé. Je compris alors ce qui était accroché à la table de pierre : un enfant ! Les intentions de Aïda ne laissaient plus place au doute lorsque je la vis sortir son kukri et s’approcher de l’enfant qui à présent, hurlait et sanglotait. J’articulai difficilement :
- Tu vas pas… Elle m’ignora et s’approcha de l’enfant, une fois à son côté, elle lui pris la main et se mit à sangloter avant de commencer, entre deux sanglots, à prononcer des mots auquel je ne comprenais rien, elle acheva par « Nema » je compris tout de suite que c’était « Amen » en verlan. Je reprends, elle conclut par « Nema » avant d’abattre sa lame sur l’enfant, faisant taire immédiatement ses cris et lamentations.