Liberation

Par lea2002
Notes de l’auteur : Je vous rappelle ce que je dis à chaque fois. Cette histoire contiens des scènes violentes, de viole, de violences morale et physique, pouvant heurté la sensibilisation des plus jeunes ou de tout le monde. Interdit au moins de 18 ans.

Merci également de respecter mon travail. Je suis toujours ravie d'avoir des retours sur ce que j'écris, mais moins quand ce sont des insultes ou la dégradation de mon travail.

Merci d'avance et bonne lecture.

Chapitre 10: 

 

Trois mois plus tard. 

— Naaallaa… réveille-toi ! 

— Ne me saute pas dessus, Isabelle, j'ai mal au ventre. 

— Encore ? 

— Oui encore ! Papa est déjà parti au travail ? 

— Oui, il a laissé un mot pour toi. J'ai faim, moi. 

— Quelle heure il est ? 

— Midi trente. 

— Pourquoi tu n'es pas à l'école alors ? 

— Et toi, pourquoi tu n'es pas au travail ? 

— Merde ! Merde ! Et remerde ! Isa, on va faire simple, OK ? Mets de l'eau dans une casserole avec du sel, j'arrive ! 

— OK ! 

Je suis dans la salle de bains pour prendre une douche… froide !

 

Je me regarde dans le grand miroir, de profil. Depuis que le verdict a été rendu, je vis chez mon père avec Damien de temps en temps. Il s'amuse à me faire à manger tout le temps. J'ai pris du poids.

Ma mère a demandé le divorce. Il était temps.

Une fois le travail terminé, j'irai chercher ma petite sœur à l'école avec mon père. Il faut lui mettre quelque chose dans le ventre.

Une fois prête et habillée je vais dans la cuisine et je vois qu'elle a déjà mis la table et qu'elle a fait chauffer l'eau.

— Tu sais que tu es un ange ?

Je lui embrasse le front.

— On mange quoi avec les pâtes ?

— Des œufs.

— Je n'aime pas les oeufs.

— C'est parce que tu n'as pas encore goûté à mon omelette magique.

— Ça n'existe pas les omelettes magiques.

— Comment tu peux le savoir ? Tu en as déjà vu ? Allez, montre-moi le mot de papa.

Elle part en trottinant pendant que je rajoute du lait et du fromage. Ma mère me faisait toujours ça quand j'étais petite pour que je mange des oeufs. Avant qu'elle ne voie quoi que ce soit, je range tout dans le frigo.

— Voilà !

Je lui prends le mot et le regarde.

« Coucou ma chérie, bien dormi ? Le petit monstre rentre ce midi pour manger, prépare ce que tu veux. Ne sois pas en retard pour le travail. C'est moi qui me charge d'Isabelle pour la sortie de l'école. Je t'aime fort, mon cœur.

PS : ne crois pas le petit monstre si elle te dit qu'elle a mal au ventre ou qu’elle est malade. Elle va quoi qu'il arrive à l'école. »

Depuis ma libération j'ai retrouvé ma popularité dans mon métier d'avant.

Je fais cuire les pâtes et l'omelette.

— J'aime pas les oeufs ! 

— Je sais, ma chérie. Allez mange, sinon je vais être en retard.

Elle finit quand même par goûter mon omelette magique.

— Alors ?

— C'est bon. Tu as mis quoi dedans ?

— C'est un secret.

***

— Je ne vous attendais plus, moi.

— Bonjour Fatima. Désolée on dépose le petit ange à l'école d'abord.

Une fois qu'on l'a déposée à l'école, on se dirige en direction de notre entreprise. Fatima gare la voiture. Une fois la voiture au point garée, nous retirons nos chaussures pour mettre nos chaussures à talon et nos manteaux. Une fois prêtes, nous rentrons dans le bâtiment.

— Bonjour, patronnes.

— On écoute.

— Vous êtes attendue à Los Angeles ce soir, Nalla. Votre avion décolle à 18 h 20.

— Et pour les prochaines heures ?

— Elpasa, Tulsa, et la Californie. Voilà vos prochaines destinations. Mais pour le moment il y a une personne qui aimerait vous voir.

— Je n'ai pas le temps, là, demande-lui de revenir plus tard.

— OK.

— Bonjour mademoiselle Kétenise.

— J'ai changé de nom de famille. C'est Hamp maintenant.

— Je suis désolée.

— Je peux savoir qui vous êtes ?

— Je suis votre stagiaire.

— Comment ça ma stagiaire ? C'est quoi cette connerie, Bastien ?

— Ah oui, j'ai oublié ça.

— Je m'appelle Mia.

Mon cœur rate un battement en entendant ce prénom.

— Si vous voulez, je peux changer de prénom ici…

— Pourquoi ferais-tu ça ? lui demandé-je en reprenant la marche dans le couloir de notre entreprise.

— J'ai le même prénom que votre sœur. Vous savez, je connais toute votre vie.

— C'est très rassurant tout ça, dis-moi. Bon, allez au travail. Tu peux me suivre mais tu ne parles pas… Pour les voyages c'est moi qui les paye.

— Ce n’est pas l’entreprise ?

— L'entreprise, c'est Fatima et moi.

— Qui prend la Californie ? demande Bastien.

— C'est moi, bien sûr.

— Pourquoi ce serait toi, Fatima ?

— J'en ai tout simplement envie.

— OK. On fait un pierre-feuille-ciseaux ?

— OK… !

— Tu sais que je gagne tout le temps ?

— Pas cette fois !

— C'est parti. Pierre…  feuille… ciseaux. J'ai gagné, Fatima. La feuille recouvre la pierre. Donc je prends la Californie. Et toi ?

— Tulsa. Je suppose que tu ne prends pas d'équipe avec toi ?

— C'est quoi une équipe ?

— Très drôle... Allez, file !

— Mia tu viens ?

— J'arrive.

— Appelle-moi un taxi s'il te plaît, Bastien.

— Bien.

— On va chercher le matériel pour faire des analyses sur place. Durant notre absence, tu gardes la maison, Bastien.

Au même moment mon téléphone sonne. Damien.

— Bonjour mon cœur.

— Coucou ma belle. Comment tu vas ?

— On part, je suis en retard. Pourquoi tu ne m'as pas réveillée ?

— Tu étais tellement belle endormie que je n'ai pas voulu te réveiller. Est-ce que tu as vu les petits gâteaux que je t'ai faits ?

— De quels gâteaux tu parles ?

— J'étais le dernier à partir, c'est pas possible.

— Moi je sais qui est passé par là. Ça commence par « Isa » et ça se termine par « belle ». On a mangé ensemble ce midi. Elle a dû les manger avant que je me réveille…

J'appuie sur le bouton de l'ascenseur pour la dixième fois, comme s’il allait arriver plus vite si je m'acharnais dessus.

— Je ne reviens pas ce soir. D'ailleurs, je ne sais pas quand que je reviens tout court je fais au plus vite. Je te laisse, je ne vais plus avoir de réseau. Je t'aime, mon amour.

— Moi aussi, mon amour.

Au même moment le réseau coupe quand l'ascenseur atteint le niveau -6.

— Tu peux aller prendre le sac à dos qui est dans cette salle ? Je reviens.

— Vous allez où ? Vous allez me laisser toute seule ?

— Je vais chercher quelque chose, je reviens, ne t'inquiète , je ne vais pas t'abandonner.

***

Dans le taxi.

— Pourquoi avoir choisi ce métier ?

— C'est assez compliqué...

— Tu n'es pas obligée de me parler de ça.

— C'est ma... mère... Elle a été empoisonnée.

— Je suis désolée.

— Pas de problème.

— Pourquoi avoir demandé un stage chez nous ?

— Je vous admire.

— Rassure-moi, tu n'as pas dit ça à Bastien pour être acceptée ?

— Si, pourquoi ?

— Mais quel abruti ! Bon, c'est une scène de crime donc profil bas, OK ? Je n'ai même pas prévenu que je ramène une stagiaire, alors tu regardes. Et surtout, tu ne touches à rien.

Une fois arrivées en Californie, l'inspecteur en chef nous accueille.

— Bonjour inspecteur !

— Bonjour mademoiselle Hamp. Nous allons directement sur les lieux.

— Pourquoi nous avoir demandés ? Pourquoi est-ce que vous avez demandé à ce que ce soit notre équipe de notre société ?

— Eh bien nous faisions déjà appel à la société que vous avez achetée il y a trois ans et à la suite de votre procès, elle a dû fermer. Et puis j'ai eu vent de votre travail. Et de toute manière, ce n'est pas moi qui ai choisi…

— Celles de Californie n’en voulaient pas ?

— Vous avez une autre vision des choses ! Est-ce que je pourrais savoir qui est cette personne qui vous suit comme votre ombre ?

— Je vous présente Mia, ma stagiaire. J'espère que ça ne vous dérange pas qu'elle soit là ?

— De toute façon, tout ce que nous allons faire reste confidentiel. Ça ne me dérange pas qu'elle soit là.

— Parlez-moi un peu plus du problème qui m'a fait me déplacer de New York à la Californie.

— C'est un peu délicat à expliquer. En tout cas, nous ne pouvons pas en parler ici.

***

Il ferma la porte de la petite salle d'interrogatoire.

— C'est sûr que c'est calme ici.

— Vous n'aimez pas les salles fermées ?

— Du moment que ça ne dure pas trop longtemps c'est bon. Alors dépêchez-vous.

— Je vais faire vite alors. La fille du Président est tombée gravement malade.

— Vous m'avez fait venir de New York jusqu'à la Californie pour un rhume ?

— Je ne vous aurais pas fait déplacer si ça n'avait pas été un empoisonnement.

— Ce n'est pas ça qu'on m'avait dit à la base !

— C'est pour ça que j'ai dit ça à votre employé, sinon vous ne seriez jamais venue..

— Bon, puisque je suis là, je vous écoute.

— Je vais plutôt vous montrer. Allons chez elle.

— Pouvez-vous m'expliquer ce qu'elle faisait en Californie ?

— Elle avait organisé une fête dans une des résidences de son père. Et elle est tombée malade.

— Et ça fait combien de temps qu'elle est comme ça ?

— Douze heures.

— OK, allons-y.

***

— Bonjour mademoiselle. Je vous présente Nalla Hamp. Elle va s’occuper de vous.

— Est-ce que vous pouvez m'expliquer vos symptômes ?

— Elle ne peut plus parler !

— OK. Alors quelqu'un a récupéré le verre ?

— Oui.

— Alors Mia, tu vas me faire plusieurs plaquettes et tu vas m'analyser tout ça.

— Bien.

Je prends le sac qu'elle a sur le dos et je sors de quoi faire un prélèvement de sang et de salive. Je fais ce que je dois faire et mets le tout dans une poche froide fermée.

— Mia ? Est-ce que tu as trouvé quelque chose ?

— Je ne suis pas sûre que ce soit important.

— Tout est important, Mia, alors parle.

— Ça existe, un poison dont les caractéristiques moléculaires ressemblent comme deux gouttes d'eau à celles du sodium et du potassium qui sont présentes dans le corps humain ?

— Non, ce n'est pas possible, Mia ! Regarde mieux. Il doit forcément y avoir autre chose.

— J'ai regardé plusieurs fois, il n'y a rien d'autre.

Je sors mon téléphone et appelle Bastien.

— Oui patronne ?

— J'ai besoin de tout le monde.

— OK, c'est quoi le problème ?

— Un poison qui possède les mêmes caractéristiques moléculaires que celles du sodium et du potassium qui se trouvent dans le corps humain. Voilà mon problème. Trouve-moi une solution. C'est quoi ce poisson ? Donne-moi une réponse le plus vite possible.

Je n'attends pas de réponse et je raccroche.

— A-t-elle mangé aujourd'hui ?

— Elle vomit tout ce qu'elle avale.

— Là ce n'est plus de mon ressort. Je vais faire venir mon père, il est toubib.

— OK.

***

— Je n'y arrive pas.

— Tu n'y arrives pas ?

— Non ! Pourquoi je ne connais pas ce poison ? Je veux voir sur une liste tous les noms des poisons utilisés ces derniers temps par des tueurs et qui sont indétectables.

— Bien patronne.

J'ai fini par rappeler Bastien et lui demander de ramener l'équipe.

***

3 heures du matin, je ne dors toujours pas.

— Mademoiselle Hamp, vous ne dormez pas ?

— Toi non plus, Mia. Et appelle-moi Nalla.

— C'est cet empoisonnement qui vous empêche de dormir ?

— Entre autres, oui. Je ne dors pas beaucoup de toute manière.

Mon téléphone sonne.

— Patronne ? Je ne vous réveille pas ?

— Non, vas-y !

— Le thallium.

— Du quoi ?

— Le thallium. Quand on mélange le thallium à de l'eau ou autre, ça ne dégage pas d'odeur particulière et ça se mélange très bien à nos molécules. C'est un poison non connu des spécialistes[GM1] . C'est pour ça que tu ne savais pas.

— Donne-moi les symptômes.

— Il y a...

— Vite, il faut finir, elle a des tremblements violents.

— Je rappelle.

Une fois dans le salon.

— Elle dit qu'elle a mal à la tête.

Quand je la regarde, je vois qu'il lui manque des cheveux.

— Des chutes de cheveux, des maux de tête… Bordel, c'est quoi ce poison à la con ? Mia, va réveiller mon père.

***

12 h 35, on recherche encore l'antidote. J'ai beau chercher sur Internet je ne trouve rien ! [GM2] 

— Putain de merde ! Je ne trouve rien.

— Je crois que le deuxième antidote ne fonctionne plus.

— Commence déjà à en chercher un autre.

— Bien.

Bordel, j'ai un coup de barre. J'ai beaucoup de mal à m'endormir si je ne vois pas le ciel. C'est pour ça qu'à la maison, mon père a fait changer une partie de la toiture pour mettre du verre. Damien et moi nous dormons sous les combles.

— L'analyse de la nourriture n'a rien donné.

— Vous avez fait les petits-fours ? Est-ce que quelqu'un est capable de me donner une bonne nouvelle ?

— Non, je n'ai pas encore fait les petits-fours.

— Allez-y !

Je replonge sur mon microscope.

— Je t'écoute, Mia.

— Comment avez-vous...

— Vous avez le pas le plus léger ici...

— J'ai trouvé les propriétés du poisson.

— C'est parfait je t'écoute. Donne-moi le numéro atomique.

— C'est le 81. La masse molaire est de 204,3839 mol-1.

— OK. Après ?

— L'électronégativité est de 1,8.

— Continue.

— La masse volumique à 20°C est de 11,75g cm-3. La température de fusion et de 304°C.

— 304°C tu dis.

— Il a dû forcément le faire bouillir. Est-ce que ça fonctionne si le produit atteint 1473°C ? Il doit donc encore rester quelque part la casserole. Ou le récipient qui lui a servi à le faire chauffer.

— Il a bien pu le préparer avant de venir à la fête. Donc on ne retrouvera peut-être sans doute jamais le récipient qui lui a servi et donc il n'y aura pas d'empreintes... C'est quoi ses rayons ionique et atomique ?

— Le rayon ionique est à 0,0 99 nm et le rayon atomique est de 0,182 nm.

— Isotope ?

— 2. Je vous donne la configuration électronique ?

— Oui.

— [ Xe ] 4f14 5d10 6s2 6p1.

— OK. L'énergie de première ionisation ?

— 589,1 kJ mol-1.

— Et la seconde ?

— 2877,4 kJ mol-1.

— On va faire un vrai antidote avec tout ça. Il nous faut récupérer du thallium. Demande à l'inspecteur si on peut en avoir le plus vite possible.

Isotope 2... Ébullition 1473°C. Soit c'est une personne qui connaît bien ce poison, ou alors c'est une personne qui l’a commandé. Mais dans tous les cas, un expert l’a fabriqué.

— Oui, allô, Damien, j'ai encore besoin de toi. Trouve-moi toutes les pharmacies qui vendent des médicaments contenant du thallium, et envoie-moi la liste par mail s'il te plaît.

Enfin !

— Tu peux rentrer, papa.

— Mais comment tu as su que... 

— Tu boites un peu... Bref, du nouveau ?

— Elle continue de perdre ses cheveux, elle ne parle toujours pas, les crises d'épilepsie continuent.

— Pour qu'on puisse bien travailler il nous faut des infos sur la vie privée, ses amis, tout ce que tu peux trouver quoi.

— Patronne... patronne il ne veut pas.

— Fait chier, quoi ! Continue les recherches je vais aller le voir, moi.

Mais quel casse-bonbons celui-là.

— Capitaine !

— Oui, mademoiselle Hamp.

— Pourquoi non ?

— C'est tout simplement illégal.

— OK. Alors les gars, on remballe tout.

— Mais si on ne peut pas avoir ce dont on a besoin pour la soigner, on ne peut pas faire les tests, donc on ne peut pas la sauver. Allez, les gars, j'ai envie de rentrer chez moi. Mia appelle Bastien et demande-lui...

— OK, OK, c'est bon, je vais voir ce que je peux faire.

— Il faut le faire rapidement sinon on va la perdre.

Il sort son téléphone de sa poche tout en me regardant.

— Oui monsieur le Président c'est le capitaine... Très bien, merci oui un petit problème. Oui j'aurais besoin de... [GM3] 

— Thallium.

— De thallium. De toute urgence. Merci monsieur le Président, vous de même. Il demande à vous vous parler.

Il me tend le téléphone.

— Bonjour monsieur le Président !

— Bonjour mademoiselle Hamp, quel est exactement le problème ?

— Votre fille a été empoisonnée avec le poison que je vous ai demandé. C'est un poison que je ne connais pas, donc j'ai besoin d'en avoir pour faire les tests. L'état de votre fille se dégrade de plus en plus. L'heure est grave. Nous ne pouvons pas attendre.

— Très bien, c'est déjà en route. Sauvez ma fille, mademoiselle Hamp.

— Je vais faire tout mon possible, monsieur le Président.

Ça, c'est fait.

— Vous voyez, avec un peu de volonté tout est possible. Bon, Mia, tu supervises, je vais me coucher.

— Comment ça ?

— Oui capitaine, je vais dormir.

Je ne lui laisse pas le temps de protester. Je pars ! Comme je partage ma chambre avec Mia, je ne ferme pas ma porte à clé. Je me laisse tomber comme une masse sur mon lit. Je suis soulagée que le poison arrive vite. Mes muscles se détendent.

***

— Patronne, le poison est arrivé.

— J'arrive.

Je me redresse et sors du lit. Une fois dans l'entrée j'examine le poison.

— Combien de fioles ?

— Cinq.

— Pas beaucoup donc on ne doit pas en perdre une goutte ! Tout le monde m'a bien compris ?

— Oui chef !

— Alors c'est parti.

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Kieren
Posté le 27/03/2022
Toujours un plaisir de revenir par ici.
Ce chapitre est bien rythmé, il y a de la tension, l'effet est prenant.
Il y a quelques fautes d'orthographe entre poison et poisson, mais c'est pas bien grave. Ce qui est embêtant ce sont les dialogues à plus de 2 personnages, on se perd sans les noms, c'est vrai que ça convient bien au rythme nerveux, mais le temps que l'on remette en place les personnages on n'est plus dans l'action. C'est un détail, mais Dieu et le Diable se cachent dans les détails.

Sinon je suis content que l'histoire se poursuive après le procès, je ne savais pas si tu allais clôturer ce texte comme une nouvelle.
Porte toi bien.
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