Sur les fleuves, sans équivoque,
Court doucement mon âme au vent
Lointain sont à présent les temps
Où j’oubliais de poindre sur les eaux en loques
Triste sérénade, une grande balade
Qui n’en sera jamais une pour le malade
C’est de l’or que se perde les vagues
Et disparaissent les grandes bouchées de lague
Dis-moi donc, marin affiné,
Où puis-je en déceler, ce ces navires chavirés
Qui naguère furent loin de leur guerre;
Tout de même en perdirent leur mer
J’aimerais voir, un jour de pluie battante,
Des bateaux ramer leur Joie profonde
Sans une larme salée d’eau courante;
Voguant aux affluents des eaux douces de ce Monde