Elle se lia.
Son ego le régit,
Rêver : acide morale.
Trop parano ? Garde-la !
Résolue, idiote, il l'a relaté.
Et cela, idem.
La crue, douce valise,
Nul sonnet ne l'attend à la rue négative.
Reflet, écho : Oh, cet elfe revit.
Age neural, ADN et talent,
En nos lunes il a vécu.
Odeur calme, dialecte étalé,
Rallie-toi ! Dieu l'osera.
Le dragon a rapporté l'arôme d'Icare,
Vertige relogé.
Nos ailes ? Elle.
Mais wouah... Quelle prouesse ! Autant j'aime les défi d'écriture, autant je me sens incapable de réussir un tel exercice.
Respect :)
J'avoue tout de même moins accrocher à l'histoire, au message, beaucoup plus abstrait que tes autres poèmes. Mais c'est dû à la contrainte du palindrome. Cela reste tout de même plaisant à découvrir et à lire.
Effectivement, je l'ai surtout fait pour l'exercice technique. C'était particulièrement frustrant à écrire, et je ne crois pas que j'oserai réessayer un jour de construire un palindrome aussi long.