Shimmering Manor, vendredi 30 novembre 1877

Par Beatrix

 

Mon cher cousin,  Votre silence m'a beaucoup inquiétée. Je me suis longtemps dit que que vous étiez peut-être occupé, que vous aviez votre vie à mener sans vous préoccuper de votre idiote de cousine. Mais je dois vous avouer que ma détresse ne fait que s'amplifier.

J'espère que ce mutisme de votre part n'est pas une manière de me punir de ma naïveté...  Je reste votre obligée ; Votre cousine,  Elisand Hartley 

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Vous lisez