Un peu doux, un peu rude
Je te donne une étude
Élancée cette esquisse
Une petite liesse de mes yeux vendangeurs
Comme j’ai regardé d’abord la courbe de tes hanches
Abrupte et ton regard aussi
Masculine telle qu’elle me rend fébrile
Sa douceur surtout en dessous me tente
Et tout ça vaut pour les jolies fentes plantées dans ton visage
Aigu et mûr mais jeune et rempli d’un calme orage
Tremblant si plein de vie de feu de fibres sans cesse grandissantes
Des ferveurs des chaleurs des humeurs accoutumées à ton corps
Ton corps ta demeure un peu ineffable désirable pour autant
Du sang sous ces pommettes saillantes je veux bien le croire
Croise moi donc que je puisse récolter encore
Et puis voir