Bon.
Tout le monde connaît le mythe de l’enlèvement de Perséphone par Hadès?
On se souvient de la morale douteuse du monsieur, du syndrome de Stockholm de la madame et de son obsession douteuse pour les fleurs ? On se rappelle de la dépression maternelle qui nous vaut de nous peler les fesses la moitié de l’année et de cuire à l’étouffé l’autre ?
Bah là c’est presque pareil.
PRESQUE.
Vous allez me dire : roh encore une reprise mièvre et culcul, un peu d’originalité que diable !
Et, outrée, je vous répondrais que…totalement.
Mais comme il y assez peu de chance que les anciens Grecs viennent me faire un procès pour plagiat, allons-y gaiement !
Imaginez donc une Perséphone insupportable, un.e Hadès au bout du rouleau, une Déméter surprotectrice et un précepteur dépassé. Mélangez un XIXe siècle steampunk, une société un poil fanatique et le charme du fog anglais. Ajoutez des plantes dépressives, des expériences ratées et un zeste de mystère.
Remuez.
Nous pouvons commencer.