L'humanité discrimine les individus en fonction de leur santé pour tenter de sauver l'espèce.
A l'inverse des hommes qui peuvent vivre éternellement, les sous-hommes ne sont pas soignés et ne mangent que tant qu'ils travaillent.
La maladie de la mère de 470, un sous-homme pas tout à fait résigné, pourrait-elle changer le cours de l'histoire en le lançant à la poursuite de soins pour sa mère ?
A moins que le peuple du silence ne chamboule cet équilibre en remportant la lutte qui l'oppose à cette humanité qui lui est si odieuse...