Je n’écris pas pour être lu.
J’écris pour entendre ce qui, en moi, ne parle pas autrement.
Mes histoires sont des traversées : lentes, intérieures, un peu floues parfois. J’aime les silences qui durent plus que les cris, les objets qui racontent sans expliquer, les souvenirs qui s’inventent pour survivre.
Je suis personne. Et ce n’est pas grave.
Ce qui compte, c’est ce que vous ressentez, pas qui je suis.
Hikaru est ma première œuvre longue.
Une tentative de poser des mots sur l’invisible.
Une montre, une ride, une voix dans un carnet.
Merci de lire. Même un fragment.