Hikaru rouvre les yeux un matin.
Tout semble identique à ce qu’il a toujours connu.
La maison, le thé, les silences.
Mais quelque chose a changé. Subtilement.
Une photo tournée. Une rose oubliée. Une montre qui n’avance plus.
Hikaru est une traversée sensorielle, où le réel vacille et les souvenirs murmurent ce que les mots taisent.
Une exploration lente de ce que l’on garde, de ce que l’on oublie, et de ce que l’on devient en chemin.
Ce n’est pas une histoire à comprendre.
C’est une histoire à ressentir.
Il n’est pas revenu pour corriger.
Juste pour traverser. Encore.