Comment vous dire que…eh bien ça fait deux jours que je ne peux plus me lever la douleur est tellement forte que s’en est impossible ça va un peu mieux quand même, mais il ne faut pas déconner. Quoi vous voulez savoir ce qui s’est passé ? Je ne sais pas si je dois le faire bon, je vais le faire comme Diaval est parti au lycée. Oui, on est lundi et je loupe des cours. Je ne vois pas où est le problème demain aussi, je pense, bon, je commence parce que le reste vous vous en foutez un peu. Retour dans le passer.
- Dit donc jeune Sheler, je t’avais dit que ce soir, tu allais être puni. Alors prépare-toi à souffrir et à hurler de plaisir.
Houla dit comme ça ce n’est pas rassurant. Il se lève et va vers l’armoire quand il l’ouvre ce que je vois déjà ma pire ennemie tient, j’ai une idée, mais avant que je ne la touche Diaval la prend.
-Rêve pas Sheler.
-Ta pas fini avec mon nom de famille, je te rappel que bientôt, je porterai le tient.
-Oui, je sais, mais quand ce sera le cas, je t’appellerai différemment.
-Je vois.
Il commence à me caresser avec la cravache.
-Bien nous allons établir quelques règles Axel.
Je hoche la tête.
-Good boy. Bon en premier, tu devras toujours m’appeler Caporal s'est compris.
-Oui Caporal.
-C’est bien. Ensuite, on va instaurer un code couleur. Si tu veux continuer ou que tu vas bien quand je te le demande, tu me diras vert. Si tu as mal, mais que c’est supportable, tu me diras orange. Puis enfin si tu as mal et que s’en est insupportable ou que tu veux arrêter, tu me diras rouge. Compris Axel ?
-Oui Diaval.
Il arrête de me caresser et me donne un coup de cravache.
-Tu as déjà oublié la première règle où c’est pour me provoquer ?
Je ne répondis pas à ça question. Je le vois prendre quelques choses, mais je n’ai pas vu quoi. Il vient m’embrasser et me coucher sur le lit, c’est là que je l’entends.
Clic.
Quoi ! C’est quoi ça !
Je termine le baiser et remarque que je suis attaché sur la rambarde du lit avec des menottes. Ceci me rappel mon rêve la nuit avant mon premier rendez-vous avec lui.
-Diaval détache moi je t’en prie !
Clac !
Encore un coup de cravache.
-Caporal je vous en prie !
Moi en panique ? Mais loin de là !!
-Tout va bien Axel, pourquoi paniques-tu ?
-Je ne panique pas, je n’aime pas être attaché !
Diaval vient m’embrasser sûrement pour me faire taire. Il soulève mon tee-shirt et vient tirer mes boutons de chaire qui se dresse et deviennent dure sous son toucher. Ce qui me fait gémir. Sa langue tournois avec la mienne ce qui me fait oublier mes mains. Il commence à baiser mon pantalon. Arrivé à mes genoux, il se sépare de moi et vient poser son bassin sur le mien et frotte le siens contre le mien. Je durcie à vue d’œil. J’en peux plus.
-Caporal…caporal…
-Qu’il y a-t-il Axel ?
-Prenez-moi, je vous en prie, j’en peux plus.
-Je refuse.
-Quoi ?!
Il s’enlève de moi et ramène deux choses avec lui. Il me retire mon caleçon, je me sens libre ça fait du bien ! Il prend mon engin déjà bien dur et le masturbe un peu avant de poser quelque chose dessus avec une pointe m’empêchant de jouir. Non ! Ensuite, il insère un premier doigt dans mon entrée me faisant gémir à chaque mouvement. Puis un deuxième vite rejoint par un troisième ça fait mal.
-La couleur Axel.
-Orange !
-Veux-tu continuer ?
-Oui Caporal.
Il continue, ces mouvements, mais j’ai envie de jouir, mais à cause de la chose sur mon pénis, je ne peux pas merde. Il retire ses doigts et introduit un petit appareil relié à une télécommande. Quand il appuie dessus mon corps, commence à vibrer. Putain que c’est bon. Si bon que j’en bave.
-Axel dit moi.
-Vert Caporal !
-Bon garçon, c’est bien.
Il augmente la vibration puis me retourne avec les mains toujours attaché bien sûr. Il se colle à mon dos mis à nu avec mon tee-shirt relevé au plus haut. Il est torse nu ? Je sens alors son pénis contre le mien. Il commence à faire des mouvements comme s’il me pénètrait. Le sentir comme ça contre moi est si bon surtout avec ce que j’ai dans le cul, ça aussi, c’est bon, tellement bon. Par moment, il vient me lécher le dos, j’ai mal, je veux jouir maintenant !
-Caporal je veux jouir, je vous en prie !
-Tu es si adorable, mais je refuse.
-Pourquoi ?
-Moi seul décide quand tu devras jouir.
Il me retourne en ma position initiale et retire le vibreur et le remplace par un god et me met une sangle avec une boule dans la bouche. Je ne peux plus parler. Il fait glisser la cravache sur tout mon corps et m’attache les pieds avec des chaînes. Mais merde tout ça rentre dans son armoire ? Il se met bouger le god très gros et oui putain, il est gros, c’est un peu douloureux. Mais il touche ma prostate et je gémis, mais mon gémissement est étouffé par ce que j’ai dans la bouche.
Il recommence plusieurs fois son action et de la bave apparaît sur la boule qui m’empêche de parler pour refléter mon plaisir. Il me retire ensuite la sangle avec la boule remplie de ma bave pour m’enfoncer son pénis à la place. Je m’empresse de lui faire la fellation qui lui fait grandement gémir. Il se retire de ma bouche et retire le god de mon cul pour s’y insérer d’un coup sec. Ceci me surprit, mais il a touché directement ma prostate qu’il continue de marteler de coup de reins puissant. Là j’en peux vraiment plus je sens Diaval près de la jouissance aussi.
-Caporal je veux venir.
-Bien ensemble alors.
Il me retire alors ce qui m’empêche de jouir et nous jouissons ensemble. Diaval tombe essouffler sur moi.
-Alors Axel ?
-C’était magnifique, j’ai adoré.
-Je te l’avais dit une fois que tu y as goûté, tu vas m’en redemander.
-Sûrement, mais pour l’heure, je veux bien être détaché.
-Hors de question qui a dit que nous avions terminé ?
-Euh je…
Puis nous avons recommencé encore une fois aux totales, je crois que nous l’avons fait trois ou quatre fois avec des objets différents pour mon grand plaisir enfin pas toujours avec les fouets. Mais sérieux, il a combien d’objets dans cette armoire ?
Mais lors d’une fois, mes mains ont été temporairement détachées. Discrètement, j’ai attrapé la cravache non loin de moi et ai fouetté les fesses de Diaval. Il a d’abord gémi fortement de plaisir donc j’ai recommencé et je l’ai senti trembler de plaisir, mais il s’est redressé et son regard en dit long. La preuve mon cul a souffert voir même très souffert après.
Après nos quatre fois du coup, nous sommes tombés de fatigue. Le lendemain je ne pouvais plus me lever en même temps, je comprends, je l’ai fouetté à notre deuxième fois donc la fin de notre deuxième fois puis les deux autres suivantes il n’y a pas été de main morte. Mais il avait l’air d’aimer quand je l’ai fouetté. Puis comment il fait pour avoir autant d’énergie à aucun moment, il a faibli ! Fin bref, je suis bloqué au lit depuis ce moment-là, mais je dois dire que j’ai adoré rien que d’y repenser, j’en ai une érection. Dès que je peux, je redemande à Diaval !
-Me redemander quoi gamin ?
Merde, j’ai pensé trop fort.
-Ça n’aurais pas un rapport sur le pourquoi du comment tu ne peux pas bouger ?
-Eh bien, c’est que…
-Je t’avais dit que tu me le redemanderas, mais attendons un peu déjà que tu récupères. On verra après.
-D’accord Caporal.
Il s’approche alors de moi et vient poser ses lèvres sur les miennes pour un chaste baiser.
-Good boy.
-Je t’aime Diaval.
-Moi aussi Axel.
Je le prends dans mes bras, c’est ainsi que je me rendors dans les bras protecteur et chaleureux de mon bien-aimé. Les jours suivant tout est revenu à la normal, c’est-à-dire que je pouvais marcher. Mais Diaval m’a fait part de la réalisation d’un clip sur une de nos chansons. Donc durant plusieurs jours ça été entraînement sur entraînement, je suis si fatigué. Du coup pas de sexe pour mon grand désarroi. Les jours défilent à toute allure entre le lycée, les entraînements et bien sûr les concerts, j’adore toujours autant chanter et maintenant danser avec Diaval sur scène, c’est, je dirai magique, oui, c’est ça on est emporté par la musique quelque part que seul nous connaisse.
-Axel vient ici !
Oula, j’ai fait quoi encore ?
-Oui Diaval ?
-Viens voir le clip va passer à la télé.
-Non déjà.
-Il semblerait.
-Mais on a fini hier seulement.
-J’en connais qui n’ont pas dû dormir cette nuit moi.
-J’imagine.
-Aller vient t’assoir ça va commencer.
Une fois le clip terminé je dis à mon aimé :
-Ils ont coupé des scènes finalement.
-Oui, il semblerait.
-Bon allons préparer à manger.
-Cher téléspectateur nous vous informons qu’il n’y pas qu’un seul clip du duo de chanteur de No Name voici donc le deuxième sur la même musique du jamais vue !
-Quoi t’a entendu Diaval.
-Oui, je ne suis pas sourd.
Le deuxième commence et finalement tout le reste y était.
-Bah elles sont là les scènes manquantes de tout à l’heure.
-Oui, le bon allons faire à manger, j’ai faim.
Nous faisons donc à manger ensemble et passons le reste de la journée ensemble. C’est bizarre, j’ai l’impression d’oublier quelque chose. Boff ça ne doit pas être important. Le soir venu, on sonne à la porte.
-Axel tu peux aller ouvrir ?
-Oui j’y vais.
Je vais donc ouvrir et je suis surpris de voir mes amis débarquer.
-Joyeux anniversaire Axel !!!!
-Quoi !? C’est mon anniversaire ?!
-Oui Axel, je l’ai bien vue durant la journée que tu avais oubliée. Donc j’ai pris l’initiative d’inviter tes amis.
-Oh merci Diaval.
-De rien, mais fais-les donc entrer ne les laisse pas sur le seuil de la porte, mais ne salissez rien.
Ils obéissent tous et donnent à Diaval ce qu’il avait ramené pour l’occasion. On a beaucoup rigolé tous ensemble même mon aimé s’y est mis ce qui est rare.
-Tiens au fait Lise n’est pas venu ?
-Non quand elle a su que tu seras chez Diaval pour ton anniversaire et tout elle a refuser son invitation.
-C’est vrai qu’elle m’a répondu assez sèchement.
-Normale, elle est amoureuse d’Axel.
-Quoi tu-dis vrai Arman ?!
-Bah, oui, tu ne l’avais pas remarqué ?
-Franchement, je me posais des questions.
-Bah, maintenant, tu as tes réponses, gamin.
La soirée se termine plutôt bien tout le monde m’aide à rangé avant de partir. Bien sûr, j’ai reçu beaucoup de cadeaux de mes amis. Étrangement, Arman m’a offert des yaois, je suis rouge de gène face à Diaval.
-Alors Axel tu comptes lire les yaois que ton ami t’a offert pour essayer de me dominer ?
-Non ! Je ne lui ai rien demandé moi ! Je le ferai sans l’aide de ces trucs.
-Je te souhaite bien du courage.
Puis le reste de la soirée ou dois-je dire de la nuit ça s'est fini en une partie de jambes en l’air classique cette fois. Le lendemain, je me lève sans trop grande difficulté et rejoins mon bien aimé à la cuisine.
-Bonjour Diaval.
-Tiens-tu as réussi à te lever aujourd’hui ?
-Oui comparé à la dernière fois hier était de la rigolade.
-C’est celui qui gémit aussi fort à chaque fois peu importe comment on le fait qui dit ça.
-Mais c’est que…
Il vient m’embrasser.
-Bon matin gamin.
Je lui fais un sourire et nous mangeons ensemble. Le midi arrivé, je vois Diaval sortir quatre couverts, je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu’on sonne à la porte. Je vais donc ouvrir, mais une tornade me tombe dessus.
-Joyeux anniversaire Axel !
-Emilie ne crie pas dès que tu entres chez quelqu’un.
-Oh pardon Mike.
-Joyeux anniversaire Axel.
-Merci à vous deux.
Je les fais entrer et nous passons à table après une petite dispute entre Diaval et Emilie qui selon lui, elle salit la maison. Arrivé au dessert, je souffle une nouvelle fois mes bougies et Emilie et Mike m’offre un cadeaux.
-Oh, mais vous n’étiez pas obligée être dans le groupe est déjà un merveilleux cadeau vous savez.
-On le sait Diaval nous l’a dit il y a longtemps, mais c’est comme un cadeau de bienvenue et d’anniversaire en même temps.
-Eh bien merci à vous, j’étais gâté cette année la montre que vous avez choisi est magnifique.
-Tient Diaval où est ton cadeau pour ton chéri ?
-Tsss.
Il se lève et ramène deux chose un paquet et un tube sûrement pour protéger ce qu’il y a l’intérieur. Il me les donne. Je commence à déballer le paquet oh…
-Une chaîne.
-Oui, pour ta clé, car tu dois l’enlever durant ta douche donc j’ai pensé t’offrir ça comme ça, tu n’auras plus besoin de l’enlever.
-Merci beaucoup Diaval.
Je décide d’ouvrir le tube qui contient une feuille non, un poster !!!! Je le déplie et vois Diaval sans bandeau et tout dessus.
-Pourquoi ce cadeau ?
-Tu me vouais limite un culte dans ta chambre avec tous les posters. Donc je t’en offre un qui est unique et sans bandeau.
-Il est magnifique les couleurs et tous sont magnifique, mais maintenant, c’est différent.
-Pourquoi ?
-Tout simplement parce que je t’ai déjà toi. Tu es à mes côtés alors qu’avant je ne pouvais t’admirer qu’à travers un écran. Mais si jamais on devait se séparer même un peu, c’est la première chose que je prendrai pour penser à toi.
-C’est magnifique.
Je viens alors l’embrasser devant les deux autres avec une Emilie en extase.
-Dit moi Axel.
-Oui Mike ?
-C’est pour quand le mariage ?
-Eh, je ne sais pas.
-Le week-end prochain.
-Quoi si tôt !?
-Tu es majeur maintenant, je ne vais pas attendre encore plus longtemps. Tu seras mon mari dès samedi prochain.
-Je ne sais pas quoi dire, il faut tout préparer et tout.
-C’est fait.
-Mais tu as fait ça quand ?
-Quand j’avais le temps même avant que je te demande.
-Tu étais déjà sûr de ma réponse à t’entendre.
-Pourquoi m’aurais-tu refusé vue que tu m’aimes.
-C’est vrai.
La journée continue tranquillement jusqu’au soir ou Mike et Emilie rentre chez eux.
-Alors je suis majeur maintenant.
-Oui Axel et bientôt marier.
-Oui à l’homme le plus merveilleux du monde.
-N’exagère pas.
-Je le pense vraiment.
-Jeune Axel Sheler.
-Oui ?
-Bientôt, tu seras monsieur Axel Aiza.
-J’ai hâte de ce jour.
Nous nous embrassons avec passion nous transmettant tout l’amour que nous avons l’un pour l’autre ? Qui est à mes yeux un amour infini traversant les âges. Mais peut être suis-je un peu trop rêveur face à mon amour pour mon chéri Diaval Aiza.