Veuillez lire, chers lecteurs (absents que vous êtes), avec indulgence les premiers balbutiements d’un poète qui rêve de façon gargantuesque pour pleurer incessamment les débris des monuments antiques. Une esthétique baudelairienne peut-être, ou encore des allitérations typiques du fennec. Vous y trouverez sans doute tout cela. Une mosaïque pour dépeindre un peu de mon être à la manière de Monet à ses débuts…
Je ne vous ennuierais davantage…
Bonne lecture ! :)