Les couleurs hurlent, les sons soupirent, et les mots murmurent.
Trois hommes, trois souffles d’art.
L’un peint des cauchemars qui saignent sur la toile.
L’autre fait trembler l’air de ses funestes harmonies.
Le dernier suit une trace, une lettre, un nom… porté par l’encre et l’obsession.
Dans ce monde où la création frôle la malédiction, chacun trace son œuvre.
Mais certains arts refusent de rester muets.
Les créations réclament leur dû. Et parfois, ce dû a le goût du sang.